Les photographies de Michel Massi, bien que réalisées sur commande lorsqu’il travaillait pour une agence de presse, rejoignent les récits de Jacques Serena dans les relations discrètes qu’elles mettent en scène ; micro fictions dans lesquelles les gens semblent « un peu en marge, décalés, en attente par rapport à une situation qui nous échappe ». Ces mots sur un banc, «gaby» appelant pour nous tout Baschung, les gestes des mains, les visages. Pour autant nul renvoi du texte aux images, nulle illustration, peut-être quelque chose que l’on pourrait dire une correspondance.
JL
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